Aujourd’hui, nous vous présentons 4 nouvelles peintures de l’artiste Claude Billès (537718) qui font leur entrée dans le catalogue du Microcosme.
Extrait de « Mademoiselle Colombe », 2021
Cette peinture sur toile est un travail de glitch pictural. La démarche artistique de l’artiste l’artiste est portée par l’esthétisme de l’erreur : une provocation volontaire d’une faille dans le processus de création, à la recherche d’une harmonie artistique.
Suite à une commande du musée Bonnat-Helleu de Bayonne lors de la Nuit des Musées 2018, où l’artiste a travaillé à une destructuration en direct, par la photographie et la vidéo, des œuvres accrochées habituellement dans le lieu d’exposition, il a l’idée de poursuivre sa série de glitch en passant de la photographie à la peinture.
Ainsi, répondant à l’adage selon lequel il faut toujours se comparer à ses maîtres, il choisit de bousculer des grands classiques de la peinture en déstructurant, via la sérigraphie et la peinture sur toile, quelques célébrités de l’histoire de l’art.
Cette œuvre est donc un glitch pictural inspiré de la « Jeune fille délivrant un oiseau de sa cage », de Jean-Honoré Fragonard. Une revisite, par l’esthétisme de l’erreur, de cette toile de maître du XVIIIe siècle. La toile est tendue sur châssis, pour un format final de 80x60cm. Pièce unique.
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« Hermine », 2021
Toujours dans un principe de glitch pictural, cette oeuvre fait suite à une commande du musée Bonnat-Helleu de Bayonne, passée lors de la Nuit des Musées 2018. L’artiste a travaillé à une destructuration en direct, par la photographie et la vidéo, des œuvres accrochées habituellement dans le lieu d’exposition. Il a l’idée de poursuivre sa série de glitch en passant de la photographie à la peinture.
Ainsi, répondant à l’adage selon lequel il faut toujours se comparer à ses maîtres, il choisit de bousculer des grands classiques de la peinture en déstructurant, via la sérigraphie et la peinture sur toile, quelques célébrités de l’histoire de l’art.
Cette œuvre est donc un glitch pictural inspiré de « La dame à l’hermine », de Leonard de Vinci. Une revisite, par l’esthétisme de l’erreur, de cette toile de maître du XVe siècle. La toile est tendue sur châssis, pour un format final de 46x61cm. Pièce unique.
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« Wobobot », 2021
Cette peinture, comme la suivante, permet à l’artiste de concevoir une œuvre 100% picturale, où il interprète à nouveau un travail sur les robots.
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« Obsolète », 2021
L’artiste entretient un rapport particulier avec les robots. Il a commencé une série, « Nos robots ont du cœur », en 2007. Depuis, parfois en peintures, en dessins, ou en collages, cette famille a vu, chaque année, différents membres venir la compléter par des techniques de créations variées, mais une identité fidèle : ces robots ont un cœur, car l’artiste les humanise, les rapproche de nous, en fait des machines sensibles dans un monde d’humains robotisés, où la machine ordinateur guide tant de nos actes.
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