Quelle meilleure idée, pour fuir la fouletitude aoûtienne que de tracer plein sud vers le sud, la Navarre, ces terres de chaleurs, de poussière et de vins râpeux à souhait ?
- A ton arrivée à Pampelune, surtout si elle se fait en début d’après-midi, je ne saurais trop de conseiller un déjeuner tapas-raciones au bar restaurant Meson del Caballo Blanco à proximité du mirador du même nom.
#PerfectPlace
- Pour la café, après avoir déambulé dans le casco viejo (centre ancien) se diriger, dans les pas d’Ernest Hemingway vers le bar so “belle époque” du Café Iruña. Ne pas hésiter à prendre un verre (ou douze) avec l’effigie d’Ernest. Impassible.
#PourQuiSonneLeGlas - Continuer toujours plein sud vers la grande place d’Olite pour savourer, à l’ombre, un apéro bien mérité sur la grande place devant les répétitions du Festival de théâtre (en août). #CervesaFresca
- Une nuit au Parador d’Olite, dans l’enceinte même du château ? Si tu te débrouilles bien, tu peux la toucher à 120 €, ce qui, pour dormir surveillé par un garde en armure est un prix ridicule. #LaVieDeChâteau
- Après ta nuit au Parador, à peine troublée par le passage de quelques ectoplasmes castillans en vacances sur place, tu n’auras de cesse de visiter le Palais Royal d’Olite, qui a accueilli la cour des Rois de Navarre jusqu’au rattachement à la Castille en 1512.
#StephaneBernSortDeCeCorps - Tu n’allais évidemment pas rentrer à la maison sans faire un tour dans le désert des Bardenas, histoire de bouffer de la poussière en écoutant la bande original d’ “Il était une fois dans l’ouest”.
#QuandTesDansLeDésert - Dernière étape avant le retour, une halte magique à la Laguna de Pitillas, une Réserve Naturelle, classée à la fois Zone Spéciale de Conservation pour les oiseaux et Zone Humide d’importance internationale, ce qui donne la mesure de sa valeur écologique.
#FaisCommeLoiseau